https://www.lanouvelle.net/actualites/une-chaine-humaine-de-220-personnes-pour-denoncer-le-projet-eolien/
« On a choisi de faire une manifestation silencieuse pour rendre hommage au silence qu’on a sans éolienne en ce moment en campagne. On a choisi de vivre en campagne pour cette quiétude-là », partage Christine Richard-Dumas, de Saint-Léonard-d’Aston, signalant aussi au passage l’incohérence du projet : « On a les plus belles terres agricoles du Centre-du-Québec et on veut y installer ces monstres-là, alors qu’on parle d’autonomie alimentaire ».
Jean-Guy Lambert de Sainte-Perpétue trouvait important d’être de la manifestation. « Je viens manifester contre le gaspillage des terres agricole. 98% du Québec sont des terres non cultivables. Pourquoi scraper le petit 2% qui reste? On pourrait les mettre ailleurs, les éoliennes! », plaide-t-il.
Julie Biron, une autre manifestante, dit avoir été sensibilisée au dossier par des amis. « Je n’étais pas au courant du projet même si je me tiens généralement bien informée. J’étais passée complètement à côté. Et le fait d’être passée à côté me fait dire que peut-être on essaie de nous en passer une », nomme la Nicolétaine.
« Moi, je suis venu protester contre la stupidité de l’être humain et de nos gouvernements qui nous sortent des projets de même », lance André Dubuc, de Sainte-Eulalie. « Au lieu de vendre l’électricité à New York, qu’on la garde pour nous autres! Qu’ils la vendent au Québec et qu’ils ne défassent pas nos paysages! »
L’action était une initiative du comité Pour un choix éclairé dans Nicolet-Yamaska, composé d’une cinquantaine de citoyens. « On veut faire comprendre aux élus qu’on veut faire partie des décisions. Il y a un manque de transparence dans ce qui est fait. On n’est pas informé », explique Christine Richard-Dumas, qui s’implique activement dans le comité.
Au cours des dernières semaines, le groupe a fait circuler des pétitions dans les municipalités par le biais de porte-à-porte. « Ce qui est aberrant, c’est que durant le porte-à-porte, on s’est rendu compte que plus de 50% des gens ne sont pas au courant de ce projet-là. Que des éoliennes s’en viennent peut-être dans la région. On fait le travail de nos élus en informant notre monde », s’indigne Mme Richard-Dumas.
« On a choisi de faire une manifestation silencieuse pour rendre hommage au silence qu’on a sans éolienne en ce moment en campagne. On a choisi de vivre en campagne pour cette quiétude-là », partage Christine Richard-Dumas, de Saint-Léonard-d’Aston, signalant aussi au passage l’incohérence du projet : « On a les plus belles terres agricoles du Centre-du-Québec et on veut y installer ces monstres-là, alors qu’on parle d’autonomie alimentaire ».
Jean-Guy Lambert de Sainte-Perpétue trouvait important d’être de la manifestation. « Je viens manifester contre le gaspillage des terres agricole. 98% du Québec sont des terres non cultivables. Pourquoi scraper le petit 2% qui reste? On pourrait les mettre ailleurs, les éoliennes! », plaide-t-il.
Julie Biron, une autre manifestante, dit avoir été sensibilisée au dossier par des amis. « Je n’étais pas au courant du projet même si je me tiens généralement bien informée. J’étais passée complètement à côté. Et le fait d’être passée à côté me fait dire que peut-être on essaie de nous en passer une », nomme la Nicolétaine.
« Moi, je suis venu protester contre la stupidité de l’être humain et de nos gouvernements qui nous sortent des projets de même », lance André Dubuc, de Sainte-Eulalie. « Au lieu de vendre l’électricité à New York, qu’on la garde pour nous autres! Qu’ils la vendent au Québec et qu’ils ne défassent pas nos paysages! »
L’action était une initiative du comité Pour un choix éclairé dans Nicolet-Yamaska, composé d’une cinquantaine de citoyens. « On veut faire comprendre aux élus qu’on veut faire partie des décisions. Il y a un manque de transparence dans ce qui est fait. On n’est pas informé », explique Christine Richard-Dumas, qui s’implique activement dans le comité.
Au cours des dernières semaines, le groupe a fait circuler des pétitions dans les municipalités par le biais de porte-à-porte. « Ce qui est aberrant, c’est que durant le porte-à-porte, on s’est rendu compte que plus de 50% des gens ne sont pas au courant de ce projet-là. Que des éoliennes s’en viennent peut-être dans la région. On fait le travail de nos élus en informant notre monde », s’indigne Mme Richard-Dumas.
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« On a choisi de faire une manifestation silencieuse pour rendre hommage au silence qu’on a sans éolienne en ce moment en campagne. On a choisi de vivre en campagne pour cette quiétude-là », partage Christine Richard-Dumas, de Saint-Léonard-d’Aston, signalant aussi au passage l’incohérence du projet : « On a les plus belles terres agricoles du Centre-du-Québec et on veut y installer ces monstres-là, alors qu’on parle d’autonomie alimentaire ».
Jean-Guy Lambert de Sainte-Perpétue trouvait important d’être de la manifestation. « Je viens manifester contre le gaspillage des terres agricole. 98% du Québec sont des terres non cultivables. Pourquoi scraper le petit 2% qui reste? On pourrait les mettre ailleurs, les éoliennes! », plaide-t-il.
Julie Biron, une autre manifestante, dit avoir été sensibilisée au dossier par des amis. « Je n’étais pas au courant du projet même si je me tiens généralement bien informée. J’étais passée complètement à côté. Et le fait d’être passée à côté me fait dire que peut-être on essaie de nous en passer une », nomme la Nicolétaine.
« Moi, je suis venu protester contre la stupidité de l’être humain et de nos gouvernements qui nous sortent des projets de même », lance André Dubuc, de Sainte-Eulalie. « Au lieu de vendre l’électricité à New York, qu’on la garde pour nous autres! Qu’ils la vendent au Québec et qu’ils ne défassent pas nos paysages! »
L’action était une initiative du comité Pour un choix éclairé dans Nicolet-Yamaska, composé d’une cinquantaine de citoyens. « On veut faire comprendre aux élus qu’on veut faire partie des décisions. Il y a un manque de transparence dans ce qui est fait. On n’est pas informé », explique Christine Richard-Dumas, qui s’implique activement dans le comité.
Au cours des dernières semaines, le groupe a fait circuler des pétitions dans les municipalités par le biais de porte-à-porte. « Ce qui est aberrant, c’est que durant le porte-à-porte, on s’est rendu compte que plus de 50% des gens ne sont pas au courant de ce projet-là. Que des éoliennes s’en viennent peut-être dans la région. On fait le travail de nos élus en informant notre monde », s’indigne Mme Richard-Dumas.